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27 décembre 2011 2 27 /12 /décembre /2011 13:56
Chers lectrices et lecteurs, certaines photos et cartes postales qui suivent vous sont présentées pour porter à la connaissance des non-avertis, s'il en est, que les populations dites arabes, juives et pieds-noirs de toutes confessions et nationalités différentes après la colonisation, n'étaient pas, loin s'en faut, séparées par une quelconque ségrégation comme l'ont prétendus les médias et une certaine frange de la population métropolitaine (Politiciens très connus sur les hauts pavés de la bêtise et de la forfaiture). Quoi que plus réels, à contrario, que ces clichés anciens qui nous renvoient à une très large diffusion métropolitaine, arrosant méthodiquement avec des mensonges et dédain la France, notre pays. Prétendant outrageusement que tous les pieds-noirs étaient des colons nantis et exclavagistes, et que les arabes étaient des exclaves. L'ignorance et la désinformation des puissants métropolitains ont poussées à la systémathique destruction de leur image et les bienfaits ancestraux de leur pays des droits de l'homme. N'oublions jamais que les vrais colons furent en tout premier lieu, les hauts dignitaires des armées qui ont foulés les premiers le sol à Sidi-Ferruch en Afrique du nord). S'ensuivit le déferlement de pauvres gens en provenance des départements métropolitains (la Lorraine, l'Alsace, la bourgogne, la provence.....!), d'Espagne, d'Italie et bien d'autres encore. Tous ces gens devînrent pieds-noirs par affiliation naturelle, toutes nationalités confondues dont les français en tête, puisque colonisateurs.
Je vous propose de bien regarder ces vieux clichés pour vous faire enfin à l'idée que l'Algérie ne s'est pas faite avec des esclaves et des sanguinaires exclavagistes, s'il en étaient, des anciens civils métropolitains et d'ailleurs. L'Algérie a pu se faire avec toutes les forces vives sur le terrain, les techniciens, les ingénieurs, les travailleurs arabes conjointement avec les travailleurs pieds-noirs. Tous oeuvraient pour le bien de tous, mais surtout pour donner un vrai pays à tout ce monde. Mais leur réussite a fait des convoitises et des jalousies. Allez demander aujourd'hui à un Algérien si la colonisation ne l'a pas fait devenir un citoyen, un vrai. Demandez lui aussi s'il ne préfèrerait pas, à ce jour, que les pieds-noirs soient à ses côtés, regrettant (les anciens dirigeants Algériens en tête de liste) amèrement le départ de ces pauvres venus d'ailleurs. En 1962, les familles qui vivaient de la colonisation représentaient 4,3 % de la population pieds-noirs. Je ne suis pour aucune colonisation, mais s'il y en a une dont je dois regretter sa fin tragique pour tous, les Algériens en tête, c'est celle de l'Algérie. L'Algérie fut à partir de 1955 une gabegie monumentale pour toutes les parties....les pieds-noirs, les algériens, les familles des morts civils, les familles des morts du contingent, les harkis, tous....sauf l'aristocratie française...! Aujourd'hui, en 2012, 2 peuples se rappelent à leurs souvenirs d'antan avec nostalgie du passé, les Algériens et les pieds-noirs, soit environ 27 millions d'âmes. De Gaulle savait depuis très longtemps ce que voulait dire le mot ""Gabegie"", il en était son fier et honteux précurseur et son meilleur fidèle.

benichou.jpg

                                                                                      Voiture Bénichou !

BISKRA-Le-Cheik.jpg

Un Cheik des premières années du 19ème siècle, un chef de tribu.  Regardez bien si vous voyez des esclaves...!
                              Le cours Bertagna à Bône, début du 19ème siècle.
Une vieille carte postale représentant la passerelle de la tranchée à Bône, début 19ème siècle.
         Autobus de la navette de Sidi-bel-Abbès à Mascara...Décontractés!
                                           Ecole communale de garçons de Béni-Mered.
Tous aliments, vins et liqueurs compris pour tout le monde. Le travail était sans distinction et pour tous.
                   Pas beaucoup de touristes, mais la rue est à tout le monde.
             Le naufrage d'un vieux rafiot vers les côtes Oranaises.
                             De l'art dans un square de Guelma (Très vieille photo)
Il suffit de lire sur la carte, sans distinction de race ou de religion ! Quand le ventre a faim, il n'y a qu'une seule nourriture, celle de la vie. Eux, à leur époque, étaient universels. Ces enfants n'étaient pas les objets des civilisations.
                                                                                 Un village en Kabylie.
Vieille carte postale d'un café Maure au marché en Kabylie. Où sont les esclaves et les nantis !
C'est un 1er Avril, certes, mais toutes communautés confondues, là, oui, c'est du réel. Ils étaient loin en 1912 de penser à l'indépendance de l'Algérie. Encore moins que 10 ans après cette indépendance déclarée, qu'ils allaient commencer à déchanter et regretter leurs amis pieds-noirs pour les uns, et leur terre de naissance pour les autres.
Les Ouadias au garage Ourgane. Tous pour un, un patron arabe pour tous. Cherchez l'esclavagiste et les esclaves. La preuve par 23 de la désinformation voire la propagande des médias métropolitains. Ce qui est sûr sur ce cliché, malheureusement, c'est qu'il n'y a pas un seul aristocrate. Car il aurait compris sur le tas qu'il n'y avait ni esclaves chrétiens, ni esclaves musulmans. Il aurait enrichit et fait honneur à l'histoire de France, lui. Les témoins ne sont jamais là quand il faut !
L'armée française (d'Afrique du Nord) rue Gambetta à Médéa (vieille photo, bien avant les années 54.
 Arrivée du courrier à Montenotte (pas loin de Ténès), où sont les nantis ? 
Simplement des ouvriers qui attendaient leur courrier !
                                       Notre Dame de Mitidja, no coment !
Vieille carte postale (voyez la pompe à essence), qui nous montre une épicerie du bled, à N'GOUS. Un établissement de tissus et épicerie de Monsieur Cheraallah Abdelaziz Ben-Hadj Bakir. Les arabes étaient toujours libres, et avaient aussi des commerces, des terres cultivables et dans tout le circuit de l'économie du pays jusqu'en 1962. Surtout dans le rural, sans minimiser les échoppes et toutes sortes de participations à l'essort de l'Algérie. Comment peut-on laisser dire en métropole pendant des décennies, que les pieds-noirs étaient des riches profiteurs des pauvres arabes. Des nantis pour les uns, des esclaves pour les autres. L'Algérie et son peuple de diverses origines, multiculturel et multireligions génait. Comme si la France avait peur de cette réussite. Dangereuse pour elle, avec tout ce peuple unis de toujours. Il fallait donc "désunir", "diviser", "chatier", "punir" et enfin "abondonner" après que la division fusse consommée.
Une très vieille carte postale de Noisy-les-bains près d'ORAN en Afrique du Nord, quel pied-de-nez pour la métropole que de constater un début de dicidence. Une preuve par quatre de la peur qu'elle pouvait avoir, dans le même style que les Anglais en Afrique du Sud.
Très vieille photo d'Oran. Nous pouvons constater l'amorce de la construction du port. En 1962, la superficie construite d'Oran, de sont port et de ses environs représentaient
                                  Dieu soit bénit, il fait très chaud à Beni-Boublene !  
     Attention au virage serré, ça va tanguer ! De la casse en perspective.
Le covoiturage n'est pas un vain mot dans le désert. Le camion est vite amortit. Pas un policier à mille lieux. Simple hypothèse, imaginons quelques secondes que celui qui est au milieu a des coliques et son papier buvard est au sens opposé, adieu vaches cotons !  
                              Ancien fort Ottoman. Y'en avait de la brique de terre !
Ces moutons cherchent à manger ou leur chemin. Ils ont plutôt l'air de ne pas avoir de GPS. Et combien même ils en auraient un, ils le brancherait où, hein, ils le brancherait où......! 
On se croirait au Western avec cette loco d'un autre temps, Rendez vous à Ok-El-Franoun !
Si ce n'était pas cette voiture contemporaine cachée derrière les arbres (cherchez l'erreur), cette locomotive à vapeur nous ferait voyager en terre sainte, au Mont des oliviers !
                                                        Les monts et merveilles de Tadrat !
Eh missié, ji ti jire, ci di thi di sud, ouala ! Bon ok, c'est du thé du sud servit au Nord, mais tu ne va pas faire fortune ici Rachid. Fallait nous garder avec toi au Nord, tu aurais 1 mechta, 3 fatmas, 8 chèvres et 2 chameaux pour te transporter ton thé. T'as mal calculé, tu ne dois pas descendre des matheux d'Egypte toi ! Allé Rachid, serts moi un thaï de ton désert !
                                     Un paysage du sahara d'une splendeur extrême.
Nos toupies de notre enfance. J'en ai vu des fortiches à ce jeu...des félés aussi, qui cherchaient en lançant leur engin de bois, à casser la toupie du voisin. Mais un jour, un petit malin trouva la riposte pour ne plus à avoir à acheter d'autres toupies. Il planta des punaises sur toute la surface supérieure, couvrant ainsi sa toupie. Un jour, les marchants de toupies firent grève pour protester de ce détournement de la loi du jeu de la toupie....!  
Au clair de la dune, mon ami Moktor, prête moi ta plume, pour ni.... l'chameau, ma berbère est forte, c'n'est qu'un couvre feu, que l'voisin l'emporte, jusqu'où il veut. Au clair de la dune, Moktor répondit, j'ai perdu mes plumes, arrêtes tes bouffonneries, cours chercher ovine, ou un âne bâté, car dans ma tajine, j'cuit mes regrets. Au clair de la dune, le r'mar voisin, s'tappe la bique, l'autre se voit bourrin, qui beugle comme cloporte, il crie à son bougre, laisse ma biscotte, car dit vieux'pas d'amour. Au clair de la dune, en n'voit que du feu, il pleurra famine, il pleurra le vieux, en rêvant d'la fiote, je n'sais ce qu'il trouva, mais il sait qu'sa porte, sera son carma. 
Enfants de tous pays.........!!!! Enrico devrait se méfier, Saïd, Mouktar, Mouloud et Kadour se sont liguer pour lui faire un coup...Méfi, Enrico, tes actions vont chuter ! Djib, djib djib djib el couscous...Eh enrico, icoute, ji si chanti l'couscous...djib djib djib, comme toi...donnes donnes donnes !
Si je vous dis que j'ai une tendresse pour ce paysage, vous ne me croirez pas et vous auriez tort. Cette borne est un très grand symbole de ma présence en Algérie, comme si l'Algérie ne voulait jamais se séparer de moi, de celui qui fut pensé et créé en son antre puisque je suis né en 1943. Certes pas près de cet objet et dans ce secteur, mais dans un décor idyllique de même beauté.
Un OASIS qui ne demande à personne de venir le souiller. Un tableau réel réunissant toutes les beautés naturelles de notre monde.
Lit d'un oued sec d'une ancienne rivière. Ne jamais y toucher, c'est un héritage universel de la nature.
Paysage somptueux de l'Algérie dont les hommes ont euent la très bonne idée de ne jamais y toucher...car sacrilège !!!
Jeu du bourro flaco (âne maigre) qui consiste à former 2 équipes, l'une qui se positionne avec un joueur debout dos au mur, les autres coéquipiers formes une suite à la queue leu leu, à mi-plier, et très solide. L'autre équipe, doit, pour chaque joueur, les uns après les autres, sauter le plus loin possible dessus et au plus près de celui qui est debout, sur tous les camarades du dessous. Le jeu consiste pour ceux du dessus à ne pas tomber en ayant un maximum de joueurset le plus longtemps possible, et pour les autres, le contraire, c'est à dire à faire tomber tout le monde. Je ne vous décrit pas la grosse rigolade quand tout ce petit monde se trouvait parterre.
C'est un genre de saute mouton, mais avec deux équipes, et fixées contre un mur. Jeu très saint et très rassembleur.
Le jeu de la cartelette est simple. L'objet est la partie supérieure d'une boîte d'allumettes format 7x5 cm (pas plus). Il consiste à un joueur de placer la cartelette parterre, dessin en dessous. Le joueur doit, avec sa main en forme de cloche, frapper d'un coup bref et fort afin de retourner la cartelette. Si celle-ci se retourne dessin en haut, le joueur a gagné un point. C'est donc à celui qui arrive à 5 ou à 10 qu'il la remporte. Ensuite c'est à l'autre joueur de placer une autre cartelette en jeu parterre.
   Publicité de l'exposition à ORAN du 14 au 29 Octobre 1950.
Jeu du petit tas de pignols (noyau d'abricot). Un joueur fait un petit tas de 4 pignols. Le jeu consiste à un autre joueur de se placer à 2 mètres environ du tas, et tirer avec ses propres pignols 5 fois. Si le tireur rate le tas, il perd tout. S'il le renverse, il gagne tout. Et ainsi de suite pour d'autres tireurs, ou poseur des pignols.
La Lorraine jadis en Algérie Française, jusqu'à Tamanrasset....! Le grand Charlot n'avait rien compris, encore moins attendri. Pourtant, il y tenait à sa croix.
Le lance pierre appelé plus communément en Algérie le stack. Composé d'un Y en olivier et des élastiques.
Tour de France dessiné parterre et à la craie de toutes les couleurs. Voir mon autobiographie "L'adolescent ocreux de l'Oranie" en première page du blog.
Le pitchak est fait avec plusieurs élastiques cylindriques ou des lamelles de chambres à air. Le jeu consiste à jongler le plus longtemps possibles en comptant les coups réussis.
                  Pas bête li Miloud, ti pi vinir maintenant, espice di voleur...!
Les Espagnols en Algérie il y a oooouuuuu....très longtemps ! Avec la guardia civil et le transport à cheval.
L'éééccchhhooo d'ooorrraaannn...! Une époque est révolue, mais nous ne pouvons oublier tous ces petits vendeurs de journaux qui emplissaient notre vie avec leurs nouvelles fraîches. Ce petit vendeur ambulant, comme le cireur de chaussures, le vendeur de tchoumbos, le vitrier, le vendeur de calentica, l'aiguiseur de couteaux, j'ai l'impression d'être à côté de ce gosse qui respire le bonheur. 
Une population paysanne généreuse. Leur vie était très dure, leur souffrance fut sans limite, mais quelle volonté dans les champs...! Nos pionniers pieds-noirs de France, d'Espagne, d'Italie et de tout le bassin méditéranéen. Eux connaissaient la valeur de la vie, la sueur dans la persévérance, la valeur de l'être et le respect de tous. Des ouvriers et ouvrières merveilleux.....!!!
La diligence de l'époque...le véhicule fermé qui servait au transport des voyageurs.
Attition li poisson, chouf l'arc-en-ciel di pitrole.....schkoun ada espice di bourro di ji ni si pas où. Li poisson...ouelou pour li manger, il faut mangi di olives i la séboya.
CHINA, juste la porte à côté, ou du moins (la porte ou la fenêtre). L'arroseur arrosé !!!!!!
   Avec 3 manettes c'est mieux, même la NASA n'y a pas pensée.
C'est notre venise à nous ! L'hôtel est à côté, sans lumière ""Tu enlèves mon voile, Kadour mon chéri"" !
                                     Lui, c'est sûr, il est branché porno ou portous...
Qui s'est le c.. qui m'a jété ça. Au djebel, faut faire gaffe, y'a des malsains !
                                         A mon avis, il y avait cinq têtus ou jorobaho ?
                                                                  Lui, c'est sûr, c'est un plombé !
Pour deux bonnes, dedans c'est mieux dehors sur deux bancs, kif kif, il veut se la kifer sa place !
Bien lire, au fond de son cerveau, y'a du X  !! Ou alors, il n'est pas sûr d'être à plusieurs !! En tous cas, il est seul responsable de l'état de sa bache !!
Aujourd'hui, c'est concours d'éj......! Celui qui va le plus loin, gagne le tonneau de rlip ou il gagne un kilo d'estropajo !!
Et surtout surtout, cliquer cliquer deux deux fois fois !!
                                                       Une sou sous sou sous soucoursale.
                                       A mon avis, il n'a pas encore reçu le décodeur !
Eh miloud, ji ti di de tourni à droite, rrrmar ! Ti pense trop à ta fatma ouala !
Très attentionné ""Ya bouyah, ci qoua li drogue?"" I bien mi fils, ci com ti fume li goudron ! ""Ahhh, ci bien bouyah...alors ci quoi la nicotine""...? Alé va là bas, espice de mon fils...tié fou avec si quistion di bourro, ji vi ti donni oun bougna, ouala !                                    tout à droite, à droite toute
                             Pour trouver le pont de l'Arc, suivait li flèche.....
                                                     Thank you ben larbi de Mosta i Ganem !
Ici git vi pirsonne, ou autriment ji va t'envyoïe mi cousine li pervenche di bled et ti vehi cule i sira brili...ouala...gi ti li dit !
Moins cher que gratuit, ji ti donne ma fatma avic.
Au fait, c'est une patisserie roulée sous les aisselles....enfin...la fatma me dira !
ayouah roumi, ci di coro di la mir di coraye, ci pas li glaouis di abeilles !
Franchement, c'est une pub un peu trop récurente, pas sûr d'en vendre beaucoup. Benetton va être jaloux...ouelou et pas ouala !
                                                            Une plage de Boumerdes.
                                                                 Passez par la porte dérobée...!
          Un gros clic et ça repart...c'est une moto Lexus tout électrique.

les indissociables

                                                              Très belle photo, le sahara quoi !

Les étranges venus d'ailleurs

Il a raison, il ne doit pas y en avoir beaucoup qui doivent passer. Les martiens sont au courant à présent, ouf, on est sauvés.

L'escalier du paradis

                    L'escalier de la porte de prison, et Rachid, t'as pas la clé.

La cuvette ou quoi

              Il a de drôles de moeurs celui là, il va avoir des problèmes !

Je te jure qu'il n'y a pas de requin

                                         Ji ti di qui nia pas di requin, ti peu ti barboti...!

Il y était sûrement à cette époque

     Voilà un réaliste, un saint homme. On va le canoniser, il le mérite.

Il y a les transports en commun, à présent il y a les mot

                       Ci li 4X4 di bled...li enfants iiii sooonnnttt heureuuuxxx...!

Il a trop mangé de chorba

                        Moi, j'aime pas les problèmes, je les évitent toujours....!!

Il a plié au vent le boudjadi

                                 Ci di Mouktar Dali di bled....li cousin Dalbator Dali !

Frigo tous terrains 4x4

Ci li frigidire di Moktar di la mobilite pigeo qui habite l'oued chouf li mozabite...!

Et pan, le flach dans la poire

Souri a li photo, oui ci ça Miloud mon piti chiri, ni bouge pas sinon ji rate li photo jolie....."et pan, en pline figuire"...quii ci ça espice di ouhelou, ti ma alimi la limière di la voitire sur moa...ji li yeux brilé plus qui li la lacrimogine...! 

dernières volontés avant le sacrifice

Il li content li Kadour, i promine li bébé moutone jusqu'a li batoire...! ali poussi espice di fignant sinon pas di michoui, toi ti va mangi la line en chorba...! I les bo li Kadour, il li gentil. Alors li kabch, ti content.....bébébébéh, lache moi...!

Coucou, c'est pas moi

Chhhhiiittt, di rien ouelou, si mon voisi mi voit, i mi coupe li clé....i ji soui oun chat chinois inecognito pour fire marchi li commirce chinois....Chhhiiittt, ti toi, el kelb !

pour-le-retour-copie-2.jpg

Cocasse cette publicité !!! L'Algérie 2012 n'a plus qu'à faire son 5ème emprunt national pour espérer le retour des siens pour le plus grand bien du pays. Ainsi, les chinois et Cie seront remplacés par el Blehdi. Et puis si l'Algérie n'arrive pas avec son emprunt, elle pourra toujours demander des idées à la France ! C'est connu, en France on n'a pas de pétrole mais on a surtout des aides bien rodées.
Un évènement naturel très rare s'est produit le 16 Janvier 2012 à Béchar (Anciennement Colomb-Béchar), au sud ouest d'Oran, sur la Zone frontalière avec le Maroc, de la neige au sahara algérien.
Même jour, toujours vers Béchar, une palmeraie dans le sahara sous la neige. Les dates seront bien conservées cette année. Elles seront fourrées à la neige des oasis.
Ji pa mi li casque....i alors ! Mon cric i vient de chi pijot. Quoi, bi sur ji tiré li freins, ti mi prends pour un boudjadi, le roumi, oualah ""tu fais une soudure, est-ce que tu as vidé l'essence du réservoir ?"". Pirquoi ti veux que ji vide l'essence, mon cajot i marche à lilictriciti aouf, jchti jure, ti vois pas les itincels, ji ripare li fil dilictriciti ""tu l'as depuis longtemps"", i non, hier ji li achiti au rambrih, li mec i ma dit, ti mi li contact i ti roule jisqua adach, mime jisqua ti achélémme """ayouah, c'est vrai ? tia fi oun bon afire""", ji crois; ji ti dirai apri la soudure, tranqiliment.
                     Moa, ji oun miller idi, ji vi li mettre sur le toit di la voitire...
                                                Yen a tijours qui font trop. Oun fanfaron.
                           Qui ci li con qui ma fi ça....ji vous donne dix sicondes.
                                                           Rien à dire, c'est une rue à 2 voix...
Alo, alo, misié vidéo gag, li pharaon i l'été malade, oualah chti jire. Moa ji di, ci l'escali di nul part, i en +, i faut pas qui la nige tombe disu, sinon, bobo cabouya Kadour.
Ci pa oun bone idi ça, moa jé li la lumière à l'oeil, et ji pi monti chi li voisin sans l'asciseur.
Un, ci pou li homes, l'autre ci pou li bouricot (r'mar), ch'ti jire.
                            I alor, moa ji pense à mi p'tits enfants dijà.
I fait vite qui ji netoie ces vites, ji voia pli les oiseaux et Kadour ci qui fi.
La pitin, ji crois qui ji fais oun pé ""tiés sir Kadour, çi sent pas le pé"", ti a rison Saïd, ji crois qui ci pire...oualah, je sent qui ça coule vir ma cabouya (la tête) ! 
Photo prise et texte par Gaby Visiedo (2007).
Ben-Zireg est une grosse palmeraie et un tout petit village à 90 km de Colomb-Béchar. C'est aussi une gare de chemin de fer fortifiée et construite dans les années 1835 par la France pour ce préserver des brigands venu du Maroc par la montagne du Djebel Antar, il y avait une grosse garnison de militaires dans les années de 1923 à 1962 ! J'ai connu cette gare car un cousin (cheminot) y habitait. Mon père, lui, était aussi cheminot, mais à Colomb-Béchar. J'ai pris cette photo en Mai 2007 lorsque je suis retourné revoir ma terre et me replonger dans mes jeunes années. Cette photo prise depuis la palmeraie, car la gendarmerie m'avait refusé que je m'approche de la gare.
                                                                    La gare de Ben-Zireg...! 2007
    En ce temps là ! Oran était la capitale Africaine de la tauromachie.
                              Publicité touristique pour Constantine.
Naranjina.jpgPour le plus grand bonheur de tous, Naranjina était l'ancêtre d'Orangina. Dans ce mot, il y a Naranjina (en espagnol), qui veut dire Orange. C'est Léon Beton de Boufarik près de Blida qui s'inspira de l'invention d'un pharmacien espagnol, le Docteur TRIGO. Léon Beton acheta la formule à ce pharmacien et rajouta de l'eau gazifiée au mélange. Orangina est donc née en Algérie, tout comme la clémentine à Misserghin (près d'Oran).  
A la tienne Ali, à la tienne Kadour, à la tienne mon lieutenant, à la votre à tous, combien c'était bon ces moments là. Ces moments parfois occultés, érronés, raillés, désinformés par les puissants de métropole, médias et politiques. Comme tu vois Ali, Kadour, mon lieutenant, il y avait dans ce temps là qu'un seul Dieu, celui pour tous, celui de l'union ! Cette publicité pourrait alimenter le réservoir de ceux qui pensaient jadis que ce n'était pas la réalité du terrain. Et bien non, c'était la parfaite réalité du plus grand nombre, que cela plaise ou non ! 
                                        Le fortin de Charles de Foucault à Tamanrasset.
                                                                                 Bivouac de Berzouga.
                                                                        Le même bivouac, de près !
Boutique à Tamanrasset. Un de mes rêves inassouvi, celui de visiter cette région de l'extrème sud de l'Algérie. J'aurai été comblé, un symbole !
                 Ici, pas de voiture brûlée, uniquement un paysage idyllique.
                                                                               Le soir à Tamanrasset.
Une rue de Tamanrasset. Des maisons en terre et le sable qui avance et avancera toujours, sur tous les obstacles.
Université de Tamanrasset. Pour une fois, le paysage naturel peut se confondre admirablement avec le rêve, un beau mariage. 
tondeur                                                     Le Tondeur de chien ambulant.
                                             "Je vais lui faire une coupe comme un lion"
                                                                                 Le vitrier ambulant.
réparateur de vaisselle                                                                                           ambulant.
Chateau-fort-d-Oran.jpgL'ancien Fort de Rosalcazar, aujourd'hui appelé Château-Neuf, ce château était le plus vaste, jadis, de l'Oran Espagnol. 

Porte-du-Santon.jpg

La porte du Santon (Oran), d'où partait le chemin de Santa Cruz ainsi que la route de Mers-El-Kébir. Aujourd'hui, cet édifice a été complètement détruit après l'indépendance.

La-porte-de-Tlemcen.jpg

La porte de Tlemcen (en bas du ravin blanc, "ravin Raz-El-Aïn"). Elle se trouvait au pied de la vieille casbah.
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commentaires

G
Bonjour,<br /> Je découvre ces images intéressantes. Dommage, que les textes soient peu lisibles sur fond jaune.<br /> Pas assez de contraste. Parmi les noms célèbres de Pieds-Noirs, êtes-vous sûr que Gaby Morlay<br /> fasse partie de la liste?!<br /> Merci quand même.
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