Vers les années 20 Vicente retourne en Espagne, à Denia (province d´Alicante) pour y monter une menuiserie-fabrique de jouets. A la même époque, mon père Blas (né au Sig, mais conservant sa nationalité espagnole) fait ses preuves de lieutenant de la marine marchande à bord de divers caboteurs espagnols et français (le "Michel Mazella" par ex., immortalisé par le peintre Roger Chapelet).
Début des années 30: incendie criminel à Denia. 1933: retour à Oran de Vicente Galiana pour s´associer avec M. Ruffié et lancer l´anisette "Idéal-Galiana".
1935-36: Séparation des associés: M. Ruffié lancera le "Col Bleu", et mon grand-père le "Super Anis".
1955 photo de famille: Le personnel des bureaux
On y voit carlos au centre ainsi que son Père
La remise de médailles du travail à la distillerie d'Eckmühl.
Le père de Charles félicitant M. Ernest Gomez, un exemple de dévouement à la maison et à la famille Galiana (aux seconds plans, MM. Martin et Bénaïssa, également medaillés).
De gauche à droite: M. Gomez (Expert-comptable et fondé de pouvoirs), M. Martin, Blas Galiana (mon père), M. Sabuco, M. Benaïssa et sa fille.
Ainsi, comme en témoignait la photo ci dessus, la production de la célèbre anisette se poursuit aujourd'hui en Espagne, à Monforte del Cid, dans la pure tradition de celle d'Eckmühl:
Voici l'Alambic qui sert à la distillation du Super Anis
La mise en bouteille est automatisée avec une machine moderne. C'est net et rapide:
En 2006, le Super Anis né en 1936 fêtera ses 70 ans ! un âge vénérable pour notre plus grand plaisir. A cette occasion, un concours d'idée est ouvert.... faites fonctionner vos neurones et vos crayons...!
Carré d'As ! ou Atout Coeur !
Envoyez vos idées à Carlos Galiana Ramos: charlesgaliana@yahoo.es
Et voici quelqu'un qui a peut-être des idées... mais qui en tout cas nous fait un Coucou, depuis son bar-restaurant "Marcel Cerdan" d´Alicante oú il est installé depuis un an.
Le connaissez-vous ? De nom certainement puisqu'il s'agit de René Cerdan, fils du célèbre Bélabésien (mais natif de Casablanca comme ses deux frères Marcel, l´aîné, et Paul, le plus jeune). C'est un grand ami de Carlos et il semble apprécier le Super Anis....
Comme je ne voudrais pas vous entraîner à la débauche, je m'empresse de vous dire que:
"L´abus d´alcool est dangereux pour la santé. Consommer avec modération".
La photo affichée en haut à gauche, ne vous rappelle rien ? Remontez un peu en arrière et vous y verrez l'original: Foire commerciale d'Oran 1954: le stand de la buvette GALIANA et le papa de Charles.
GALIANA Super Anis a décidé de rendre hommage au grand Marcel, en apposant sur ses bouteilles un médaillon en l'honneur du champion prématurément disparu:
Deux sites à consulter sur ce sujet:
porte clefs
Et la fameuse carafe "Super Anis"
Au cours des années 40, les trois héritiers (Blas, Vicente et Josefina) prennent le relais de la distillerie, jusqu´en 1963 ("bien vacant" nationalisé). La société produira aussi des sirops de fruits, apéritif, liqueurs et sodas (1956), avec des succursales au Maroc et en Tunisie (très vite nationalisées).
de gauche à droite:
M. Gomez (Expert-comptable et fondé de pouvoirs), M. Martin, Blas Galiana (mon père), M. Sabuco, M. Benaïssa et sa fille.
Le paradis bleu des MAMANS
Dis maman, dis moi tout,
Es-tu heureuse là-haut ?
Dis maman, dis moi tout,
Ton monde est-il plus beau ?
Dis-moi, maman,
Raconte les couleurs
Qui habillent le ciel,
Ce que disent les étoiles
Du soir au matin,
Pourquoi le soleil pleure,
Dis-moi le beau voyage
Des millions de nuages.
Dis-moi, maman,
Pourquoi le vent brûle
Quand les canons tonnent,
Pourquoi la misère tue
Autour des palais.
Les fleurs te parlent-elles
Comme jadis sur terre ?
Dis, ton décor enchanté,
Est-il une réalité ?
Dis-moi, maman,
Ton chemin est-il plein
D’animaux merveilleux ?
Que disent tes vraies amies
Sur la loi des hommes ?
Pourquoi mes bons voisins
Se cachent pour souffrir ?
Pourquoi l’air est pollué
Et change nos belles saisons ?
Dis-moi, maman,
Si ton carrosse blanc
Peut m’emmener demain
Vers ton paradis doré.
Ciel, couche-moi bientôt
Sur ton lit d’étoiles
Pour oublier le gris
Dans mon coeur d’enfant blessé
Par ces rudes batailles.
Louis GARRIGOS
Prix Joseph CONRAD 2006
Grand Prix International Littéraire des Editions TERRICIAË
Dis papa, dis moi tout,
Es-tu heureux là-haut ?
Dis papa, dis moi tout,
Ton monde est-il plus beau ?
Dis moi, papa,
Raconte les couleurs
Qui habitent le ciel,
Ce que disent les étoiles
Du soir au matin.
Pourquoi le soleil pleure,
Dis moi le beau voyage
Des millions de nuages.
Dis moi, papa,
Pourquoi le vent brûle
Quand je pense à toi,
Pourquoi un cœur si dur
Habite en moi.
L’oubli que j’ai nourri,
Te pèse-t-il encore ?
Dis, ton décor merveilleux
Te soulage-t-il quelque peu ?
Dis moi, papa,
Les orages tonnent-ils
Comme sur la terre ?
Que disent tes amis
Sur la froidure des sens ?
Pourquoi mes bons voisins
Souffrent-ils en silence ?
Pourquoi les papas partent
Sans être vraiment aimés ?
Dis moi, papa,
Si tes larmes rouges
Ont oublié ma loi,
Si ton paradis parme
Est meilleur que mes baisers,
Dis moi, papa,
Puis-je te sourire
Pour me faire pardonner ?
Louis GARRIGOS
QUAI SANTA CRUZ
Au petit matin à BEL-AIR,
Des voix sont montées soudain.
Une sombre journée amère
Allait nous habiter sans fin.
Deux mots hantaient nos oreilles,
La valise ou la mort.
C’était un jour sans pareil,
Car il fallait sauver notre sort.
L’air était si malsain
Là sur ce quai du désespoir,
Que les mouettes fonçaient au loin
Se cacher pour pleurer comme pleuvoir.
Des cris venant des cœurs blessés,
Trouvaient un écho lugubre
Dans ce décor en lambeaux viciés,
Comme une pièce insalubre.
Les larmes étaient si chaudes
Mélangées à celles qui restèrent.
Ce bateau pour les antipodes
Attendait comme un corps mourant.
Il nous avalera dans son antre
Comme des animaux perdus.
Nous montions collés aux autres,
Solidaires, vers un futur inconnu.
Là, juché sur le pont des adieux,
Nous regardions le quai des larmes
S’éloigner lentement de nos yeux,
L’instant était cruel mais calme.
Traversant un nuage couleur pluvieux
Les mouettes enfin nous rejoignaient
Pour nous couvrir de morceaux de feu,
Celui du soleil que nous avions partagé.
Troublante profondeur de l’espèce humaine,
Toi le noir, mon CLONE.
Ton regard empli de braises
Par le soleil, ton ami, ton frère
Porteur de la vie et du bonheur,
Toi le noir, mon CLONE.
Ne cesse jamais de regarder en face
Les millions de cloportes passant au large,
Eux, vivent dans l’obscurité de la honte,
Toi le noir, mon CLONE.
Oublie enfin les mots immondes des hommes,
Ceux des négriers sont une insulte à DIEU
Car les esclaves resteront, eux, ses plus fidèles,
Toi le noir, mon CLONE.
Lève la tête bien haute vers le firmament,
Car la négritude est et restera l’honneur
Des Négroïdes semblables à la neige,
Toi le noir, mon CLONE.
Là où tu seras, mes pensées seront vers toi,
Ma passion et ma gratitude seront toujours là
Pour te prouver mon vœu de bonne foi,
Toi le noir, mon CLONE.
Tes souffrances sont les miennes tous les jours,
Ton cœur et ton sang sont siamois de ma peau,
Regarde toi dans un miroir, tu m’y verras,
Toi le noir, mon CLONE.
Les génocides, les crématoires, les épurations ethniques,
Les différences, les ghettos, les purifications, les esclaves,
Les races, ces mots sont des taches puantes de notre vocabulaire…..
Ils reflètent la réalité du genre humain…..
Nous devons les combattre
Sans cesse chaque jour qui passe,
Afin que l’humanité recouvre ses valeurs,
Les valeurs naissantes par essence de l’homme.
Louis GARRIGOS le 04/12/02
La gratitude est une vertu qui n’est grande que chez les êtres qui aiment à faire don de leur cœur.
Qu’on soit plus loin que les océans
Ou bien sur la terre de France.
La vie fut une belle histoire
De l’aube aux étoiles du soir.
Les filles étaient un bouquet de fleurs
Qui enivraient de mille parfums.
Adieu blanches mouettes d’ORAN,
Nous ne vous oublierons jamais.
Vous les blanches mouettes d’ORAN
Saviez la belle vie qu’on avait.
Allez chanter nos messages
Aux peuples du monde entier,
Dites leur que les pieds noirs d’ORAN
Etaient une foule de gens heureux,
Que le soleil brillait pour tous
Même si la misère nous brûlait.
Ne pleurez pas mouettes d’ORAN
Un beau jour nous nous reverrons,
Vous au ciel blanc des animaux,
Nous, au dessus des nuages roses.
Vos larmes qui nous attachent
Sont plus belles que les flots bleus.
Elles ne seront jamais perdues,
Car nous les partageons aussi.
C’est vous, volant près de nous
Avec vos plumes si blanches,
Qui avez tracé nos sillons.
Adieu blanches mouettes d’ORAN.
Louis GARRIGOS 2006
Allez lui dire, liberté ……
A l’enfant au 6 printemps
Qui remue les décharges des FAVELAS,
Respirant les puanteurs du temps
Et ramasse pour vivre ici bas,
Le moins que rien et parfois
La mort qui fait régner sa loi.
Allez lui dire, liberté …….
A l’enfant au 6 printemps
Qui travaille dans les champs de CALCUTA,
Qui passe ses tendres années
A modeler des briques de terre rouge,
Pour que s’abritent ses aînés
Fortunés, qui fuient la sueur de la misère.
Allez lui dire, liberté ……
A l’enfant au 6 printemps
Qui porte l’eau de l’oued
Sur le toit de sa tête,
Afin d’abreuver les grands
Sans vergogne, les impies
Fuyant la charge du malheur.
Allez lui dire, liberté ……
A l’enfant au 6 printemps
Qui pompe l’eau saumâtre
Dans le puits de BANGUI,
Dans le sable de la honte
Où quelques gouttes ne suffiront pas
Pour que survivent ses semblables.
Allez lui dire, liberté ……
A l’enfant au 6 printemps
Qui pousse sans relâche
Sa charrette à MACAO,
Avec 10 fois son poids
De cartons et chiffons déchirés
Laissés en héritage par les nantis.
Allez lui dire, liberté ……
A l’enfant au 6 printemps
Qui ramasse le moindre débris
Dans les rues de KABOUL,
Lancés par les sans faim
D’un geste avec dédain
A l’adresse des crève la vie
Allez lui dire, liberté ……
A l’enfant au 6 printemps
Qui n’a d’avenir que mourir
Sous le drapeau de la liberté
En guise de soulagement
De sa petite et triste vie.
Repose enfin en paix ; petit,
Du haut de tes 6 printemps,
Tu auras beaucoup donné
Pour payer ta naissance
Restée jadis dans la colonne des…
…….impayés !
Louis GARRIGOS 14/04/03
Un goût amer me reste aujourd’hui, n’avoir pas pu t’aimer, tel est mon chagrin éternel.
J'aimerai tant voir à l'horizon
La p'tite cabane dans la colline,
Les bois sentant bons l'eucalyptus,
Les prés remplis de coquelicots
Jusqu'au fond des chemins de terre
Les chevaux hennissaient en paix
O temps parfumé de ma jeunesse,
Odeur de ma terre mouillée.
Oran, ville de mon adolescence,
Oran, Je ne t'oublierai jamais,
Oran, ville de mon adolescence,
Oran, c'est toi seule que j'aimai.
Dans la rosée au petit matin,
Je revois les longues allées
Bordées de peupliers immenses,
Tendant leurs bras jusqu'au ciel bleu,
Au sol jonché d'un lit de feuilles
Aux couleurs vieillies par le temps
Volant au gré des rafales de vent
Tournoyant sans cesse, se soulevant.
Dans les champs nus, je voyais au loin
Un troupeau de moutons paisibles,
Un chien furieux, en patron régnait
Aboyant à la voix de son maître.
Dans les sentiers, les fruits couvraient
Les murailles de vieilles pierres;
D'un geste léger comme une plume
Je les cueillais comme des fleurs.
Oran, ville de mon adolescence,
Oran, je ne t'oublierai jamais,
Oran, ville de mon adolescence,
Oran, c'est toi seule que j'aimai.
Ton univers, riche de mille fruits,
de caroubes, de jujubes, d'oranges,
De nèfles, de figues de barbarie,
Noyés dans une chaleur rouge
Nous enivrait de mille bonheurs.
Et nos coeurs ne sentaient plus
Les odeurs naturelles de cette terre
Qui emplissaient nos vie de gamins.
Oran, ville de mon adolescence,
Oran, je ne t'oublierai jamais,
Oran, ville de mon adolescence,
Oran, c'est toi seule que j'aimai.
En vous souhaitant une très belle visite.
*************************
D’autres documents me sont parvenus d’Oran et notamment mon dossier de légitimation adoptive ou figurent dans le conseil de famille - Le Maire d’Oran, le Directeur de l’hôpital, Messieurs Boredres et Ferrara conseillers généraux, Maîtres Gandolphe, bâtonnier (dont la fille Maryse Saurel est cousine de mon premier parrain et son époux était avocat dans l’étude de maître Gandolphe) et Tabet avocats et Mr Vazeille, inspecteur A.P. (Il est à noter qu’aucun de ces personnages importants de la ville ne s’est fait représenter mais ils ont tous participé en personne à ce conseil).
Mon second baptême s’est fait le 12.10.1947, à la demande de mes parents adoptifs.
Mettre un bébé au monde n’a pas pu ne pas laisser de traces ! Il y a bien quelqu’un parmi la famille, les amis ou les voisins de ma mère qui ont eu connaissance de cette naissance. Aussi loin que soit arrivé cet événement, je reste convaincu qu’une maman, quelles que soient les pressions qu’elle ait pu subir, ne peut oublier l’enfant qu’elle à mis au monde. Je veux simplement connaitre mon histoire, retrouver mes racines sans trop bouleverser sa vie, son passé est aussi le mien et nos vies ont en commun les 9 mois passés ensemble.
J'ai vécu mon enfance et ma vie d'adulte au milieu de beaucoup de silences, le temps passe et toutes les questions que je me pose sont sans réponses et crées un vide de plus en plus pénible. Elle n'est peut- être plus de ce monde, mais la famille biologique a du être au courant de cette "naissance oubliée". J'aimerai connaitre la vie de cette mère de naissance dont j'ignore tout, et je sais aussi que fouiller le passé peut-être parfois risqué. De quels secrets a-t-on voulu me protéger ? J'aimerai comprendre tout simplement.
Une maman ne peut pas oublier l'enfant qu'elle a mis au monde. Aussi difficile que cela puisse être, je souhaite que cette maman ait envie de me retrouver. Aidez-nous à réaliser ce voeu et à joindre ce morceau manquant à mon histoire avant que le temps n'éfface toute trace.
Si vous découvrez mon histoire.
Si vous savez quelque chose, un indice ou pour plus de précisions, n'hésitez pas à me contacter au :
06 11 60 77 23
Parfois un mot, ou un complot
Souvent la guerre ou la peur
Toujours une cause quelque part,
Ne tirez pas sur cette maman.
Elle l'a aimé depuis toujours
Cet enfant venu de je ne sais où,
Elle l'a chéri dans ses entrailles
Pour mieux lui donner l'amour,
Ne tirez pas sur cette maman.
Aidez-la à sourire encore une fois,
Cette maman meurtrie à vie
Qui voulait garder la chair de sa chair
Malgré les larmes lourdes de désespoir,
Ne tirez pas sur cette maman.
Elle a aimé un amant de passage,
Son coeur sera trahi par ses proches,
Qui n'ont qu'une idée :
L'honneur, mais l'honneur de quoi?
Ne tirez pas sur cette maman.
On a enlevé un enfant
Comme si on prenait un sac
Plein de je ne sais quoi.
Cette maman est souvent impuissante
Dépourvue de force pour crier,
Un geste parfois ne suffit pas
Une signature immonde
Viendra parachever une volonté
Venue de plus haut, sûrement de très bas.
Ne tirez pas sur cette maman.
Sa première souffrance sera de savoir d'emblée
Que cet enfant ne sera plus à elle.
Sa deuxième souffrance, sera de garder en elle
Le souvenir et la douleur.
La troisième souffrance, sera le regard haineux
de quelques petites gens
C'est sur ceux là que je vomis.
Ne tirez pas sur cette maman.
Louis GARRIGOS
Après mes problèmes de piratage de mon site, voilà que j'ai des ennuis avec mon livre d'or. Tous les messages ont été effacés et je suis complètement anéanti par ce nouveau drame ! Tous les témoignages de mes amis et fidèles lecteurs sont partis en fumé.
Je ne peux plus mettre à jour mon site pour l'instant. Je ne peux faire de nouvelles pages car je risque d'effacer toutes les pages de mon site.
Pour rien vous cacher, il me faudrait plus d'un an de travail pour tout refaire et malheureusement, mon état de santé actuel ne me le permet pas.
Le site continue à tourner tel qu'il est. Mon ami Marc MORA a eu la gentillesse d'héberger mon site. Dès que mon état de santé me le permettra, j'attaquerai ce travail titanesque.
Je vous remercie pour votre compréhension, je sais que je vais decevoir beaucoup de mes amis, mais ma santé passe avant tout !
Vous pouvez me joindre sur Facebook en m'envoyant une demande pour devenir amis. J'anime cette passe avec ma femme et mon petit fils Rémi, car je ne dois pas rester longtemps devant l'écran.
Vous verrez, c'est sympa avec de la musique des années 1930 à nos jours, nous mettons en ligne des photos de toute l'Oranie de l'époque "Algérie Française".
Bonne journée
Marcel FERRERES